Ce n'est rien... (la chanson de Julien Clerc)

Ayé, on est de retour !
C'est la première fois qu'on restait si longtemps (un peu plus de 10 jours) dans la maison près de la mer et malgré ses vieux matelas qui cassent le dos, son carrelage moche, la résine des pins du jardin qui colle à la plante des pieds et le temps parfois incertain, on a eu du mal à partir.
Evidemment, dans la voiture pour aller à la gare, on n'a écouté que des chansons tristes. Sur le bas côté, des fleurs des champs partout, sous un grand soleil.
Je me suis repassé tout le film : des grillades (dont un fameux magret de canard sauteur), du temps juste pour nous et du temps pour des supers potes, le chat en liberté, des siestes, des rêveries dans le hamac, des rires, des discussions de filles, la plage, le marché presque tous les jours, les étoiles (dont une étoile filante !), des lectures, du calme.
C'est trop dur de revenir...

Comments

[strawberry milk]

Bon retour ! J'espère que tu prolonges ces belles vacances malgré tout chez toi :) J'aime beaucoup la photo de Tryphon !

[charlotteb]

ah bah oui j'en suis plutôt là! !!! trop dur...!

[fleurd'orangette]

Partir pour mieux revenir comme on dit... :)
Je suis contente de lire que ces vacances furent bonnes et pleins de doux moments ! Gros bises à toi et courage pour la reprise !

[Virma Iep]

Bon courage pour ton retour, c'est toujours un peu décevant quand ces moments là s'achèvent, parenthèses de bonheur estival...
Je n'ai jamais arrêté de te lire, mais je ne donnais plus vraiment de signes de vie par blog interposé (via olga), mais là, je ne sais pas ce qui m'a pris (la chaleur sans doutes), je me lance avec un blog perso, à voir donc si je m'y tiens ! En tout cas heureuse d'échanger à nouveau avec toi.

[couac]

Je comprends de quoi tu parles... Nous, le dernier jour de nos vacances en Finlande, nous sommes passés par hasard devant une agence immobilière et quand on a vu le prix d'une maison en bois trop belle à deux pas d'Helsinki (= rien), on a sérieusement pensé, l'espace de quelques minutes, à partir vivre en Finalnde là tout de suite, tellement on avait le cafard de rentrer...